Moi et Hubert parlons de course à pieds, alimentation et étirement.
Raquel Devillé : Bonjour! je suis Raquel Devillé et je suis ici pour vous amener le podcast Soyez Bien Ici de Recentrez-vous. Aujourd’hui, je vais interviewer mon mari, Hubert, parce qu’il va parler de course à pied, étirements et alimentation. Je sais, c’est mon mari, donc ça fait un petit peu… je prends la famille ici au podcast, mais en fait c’est un sujet qu’il maîtrise bien et il maîtrise bien aussi expliquer comment l’étirement ça marche bien pour la course à pieds. Et pour moi, c’est un sujet qui me touche parce que justement c’est mon métier donc je donne des cours de yoga aérien comme vous le savez déjà. Et Hubert, il va parler de comment le yoga aérien est aussi l’alimentation Et puis! Mince l’ont aidé à réussir et aller plus loin dans la course à pied. Donc je vais commencer par le présenter.
Bonjour Aubert! Bonjour mon amour! C’est comme ça que je l’appelle parce que je n’arrive pas à prononcer son prénom. Donc, bonjour mon amour, je t’en prie.
Hubert : Donc voilà, en effet, comme Raquel vient de le dire, j’ai fait pas mal de course à pied quand j’étais adolescent jusqu’à l’âge de 20 ans. Je courais assez bien. Et puis, j’ai arrêté pendant 20 ans et il y a environ 4 ans, j’ai recommencé à courir. Disons, j’ai retrouvé mon niveau de 20 ans en faisant attention à la façon dont je mangeai et en effet en faisant attention à la façon dont je m’étirai.
Raquel Devillé : Alors, en fait il y a quelques années j’ai pris beaucoup de poids. Et après, j’ai essayé de perdre ce poids-là et comme la plupart des personnes qui veulent maigrir, j’ai commencé par faire des régimes. J’ai commencé un régime qui n’a pas marché du tout, mais ça m’a aussi fait comprendre que mon truc ce n’est pas les régimes, comme je vous ai déjà expliqué dans l’épisode avec Valentine, où nous discutons régime et perte de poids. Donc à ce moment là, j’ai essayé de faire un régime, ça n’a pas marché parce que je n’arrive pas à tenir. Et Hubert, il a été un petit peu traumatisé avec l’expérience. Après quelques années, après avoir fait beaucoup de recherches, d’avoir beaucoup lus sur la nutrition, alimentation, etc. J’ai trouvé un recette alimentaire qui est dans la base de mon programme Et puis! Mince. Et donc Hubert, il était très résistant parce qu’après les régimes et ce qu’il a vu ce qui nous ai arrivé en fait à la maison, il n’était pas très pour et donc ça a pris beaucoup de temps pour qu’il accepte le fait qu’on allait manger différemment, qu’on allait manger Paléo. Mais après, avec le temps, avec les semaines, avec les plats aussi que je préparais, il a plongé dedans et après il est allé très très loin en fait avec notre alimentation Paléo. Et c’est ça qu’il a utilisé pour la course à pied. Donc c’est comme ça que ça a commencé, c’était avec l’alimentation et donc maintenant il va expliquer qu’est ce qu’il a fait à ce moment là pour la course à pieds.
Hubert : Oui, en fait, c’est un peu plus compliqué que ça. Disons que je ne suis pas un bon exemple parce que je suis très peu discipliné en général. Donc, je cours vite parce que parfois ça me prend tout à coup je décide de courir vite et bon, il se fait que je suis un peu doué pour ça et ça marche. Mais, je n’ai pas la discipline normalement de suivre un entraînement ou de m’étirer régulièrement ou de manger bien, je mange un peu n’importe quoi. Et je mange vraiment n’importe quoi en général. Il y a juste que quand on a plus de 40 ans, ce qui est mon cas, si on recommence à refaire de la course à pied après avoir arrêté pendant 20 ans et bien ça ne marche plus vraiment comme quand on avait 20 ans. Donc c’est clair que ce n’est pas, on ne retrouve pas tout de suite les mêmes performances et moi, quand j’ai recommencé à courir c’était surtout pour courir vite en fait. Maintenant je ne suis déjà plus là-dedans mais à ce moment-là c’était pour courir vite. Alors, j’ai tout de suite remarqué deux choses; la première c’est que je ne courais plus aussi vite qu’avant et la deuxième, c’est que je me blessais beaucoup plus facilement quand j’avais 20 ans. Et donc, il y a deux choses qui m’ont permis de revenir vraiment à un très bon niveau en course à pied. Ça a été d’abord de faire attention à m’étirer. Je vais peut être après expliquer pourquoi c’est important l’étirement. Et aussi, la façon de manger. Donc, ça a été vraiment pour moi une révélation. En faisant attention à ce que je mangeai en fait ça consistait surtout à ne plus manger de sucre, ni sucre lent ni sucre rapide, donc plus de farine, plus de pâte, plus de riz. Donc vraiment, contrôler complètement l’alimentation sucrée. J’ai remarqué que je devenais vraiment beaucoup plus résistant et plus capable de tenir un effort dans la durée. C’est un peu comme si tout à coup on avait un moteur essence et qu’on passe à un moteur diesel.
On est moins explosif, mais on est beaucoup plus puissant quand on ne mange plus de sucre.
Raquel Devillé : Alors c’est un sujet que je ne maîtrise pas du tout. Donc moi, tout ce que je veux c’est une voiture qui marche bien, pas trop d’entretien et qui tienne la route. Mais voilà, je pense peut-être que la plupart de nos auditeurs et auditrices ils comprendront parce que on a tous une voiture.
Hubert : Donc, il y a une première chose qui était l’alimentation, qui m’a permis vraiment permis de retrouver un très bon niveau et la deuxième chose c’est l’étirement. Alors l’étirement en course à pied c’est important pour plusieurs raisons. La première c’est d’abord pour éviter de se blesser. Donc, si on n’a pas des muscles capable de s’étendre assez, au premier faux mouvement qu’on va faire par exemple on va marcher sur une petite pierre ou on va marcher dans une crevasse, tout de suite on va se faire une petite déchirure ou un claquage ou une entorse. Donc, c’est important de donner aux muscles la flexibilité dont ils ont besoin. C’est aussi important pour aller vite en fait, ça on le sait peu, mais un membre pour pouvoir faire un mouvement rapide, il a besoin de faire un mouvement ample. Il a besoin de prendre son élan en fait. Donc, plus les jambes sont souples, et plus elles peuvent prendre leur élan pour toucher le sol à grande vitesse. Donc, si on n’est pas souple, on ne peut pas aller vite. C’est quasiment impossible. Et la troisième raison qui est, enfin le troisième bénéfice de l’étirement, en fait en tout cas que moi j’ai ressenti, c’était qu’en effet ça détend énormément. Donc, c’est un moment qu’on prend pour soi-même, disons pour se calmer, pour étirer ses muscles, pour peut-être s’échauffer. Et c’est un moment où on se fait du bien au fait. Donc on finit par trouver ça agréable même si au début c’est un peu difficile. Plus on gagne en souplesse, plus ça devient agréable. Et ça, c’est important d’être capable de se reconnecter avec soi-même en fait. Quand on est dans l’effort de retrouver un état de détente même quand on est au plus intense de l’effort, d’être capable de retrouver cette sensation de ” Ah, mais oui, mais je peux être bien en fait. Même en faisant un gros effort je peux être bien en fait.” Et ça on peut le trouver grâce à l’étirement.
Raquel Devillé : Bon, mais ce n’était pas non plus évident de glisser les étirements chez Hubert, donc d’abord c’était une alimentation et après moi, je pratique beaucoup de yoga parce que je donne des cours, mais je pratique aussi et j’ai essayé à plusieurs reprises de le prendre avec moi. A un moment donné, on a carrément fait du yoga ensemble. Donc, pendant toute une année scolaire, on allait ensemble à un cours de yoga, et c’était génial. Mais après Hubert, parce qu’il travaille et ça ne l’arrangeait pas tant que ça avec les horaires, il a arrêté. Et moi, à ce moment là, j’ai commencé à donner des cours et donc du coup, on avait plus vraiment le temps parce qu’on donne des cours de yoga ce n’est pas toujours évident de pratiquer et en même temps que les gens peuvent pratiquer parce qu’on est en train de donner cours quand les gens peuvent pratiquer. Et Hubert, il s’est lâché un petit peu avec ses étirements. Et pendant un été, on était au Portugal en vacances, et voilà donc c’était cette année-là qu’il a très bien réussi sa course à pied et un petit peu avant aussi. Et moi, j’étais aussi en train de faire les je cours pour ma forme, le deuxième, les 10 kilomètres. Alors, j’allais courir le matin. Donc, on sortait le matin pour aller courir et marcher. Hubert bien sûr, pendant que je fais un tour et bien il en faisait trois. Puisque de temps en temps je devrai l’attendre parce qu’il allait beaucoup plus loin que moi. Je profitais pour m’étirer parce que moi, quand je courais, je m’étirais au début, au milieu et à la fin parce qu’il n’a pas vraiment de consensus sur quand on doit s’étirer. Donc, il y a des gens qui aiment bien s’étirer avant, des gens qui aiment bien s’étirer après, des gens qui aiment bien s’étirer aussi pendant qu’ils font un exercice. Après il s’étire, après il continue l’exercice et s’étire un peu plus. Donc moi, j’ai décidé de les faire les trois parce que j’aime bien m’étirer parce que c’est vraiment mon truc. Et Hubert, à ce moment-là, il a commencé aussi à s’étirer de temps en temps avec moi. Non, c’était un petit peu comme ça. Donc sans yoga, c’était seulement de l’étirement et donc il va vous parler maintenant des étirements qu’on faisait ensemble.
Hubert : Je ne sais pas comment on parle d’étirement moi, concrètement ça revient à tirer sur ses muscles pour essayer de leur donner plus d’amplitudes de mouvement. Mais, c’est surtout apprendre à faire attention à ce qu’on fait en fait. Pour moi, ça a été ça l’importance de l’étirement.
Raquel Devillé : Mais aussi le fait de s’étirer à froid. Donc, moi j’aime bien l’étirement, c’est vraiment mon truc. Et ce que j’ai découvert pendant mes formations de Yoga, c’est notamment que quand on s’étire à froid, on va étirer non seulement les muscles, mais tous les tissus conjonctifs et en fait c’est l’étirement à froid, donc sans avoir les mains réchauffées qui permet vraiment d’en monter sa souplesse mais sa souplesse non seulement quand on fait de l’exercice, mais aussi dans la vie de tous les jours. Et là, c’était les étirements qu’on faisait avant de faire un effort physique je pense.
Hubert : Oui, et un des avantages de ça aussi c’est que ça prend moins de temps que si on doit d’abord s’échauffer. Et puis, commencer à s’étirer seulement parce que le problème quand on a une vie active, quand on travaille c’est qu’on a pas toujours le temps de faire tout ça. Quelqu’un qui décide d’aller courir, à un moment il met ses baskets et il va courir et là, ça permet comme même de s’étirer sans prendre trop de temps et de comme même encore aller courir.
Raquel Devillé : En effet, oui c’est vrai.
Hubert : Mais pour revenir à ce que l’étirement m’a apporté, en fait quelque chose que je voudrais dire c’est que quand j’avais 20 ans, pour courir vite, je m’entraînais beaucoup, je m’entraînais comme un fou et je courais tous les jours. Je suis arrivée à courir 70 à 80 km par semaine. Et là, à 40 ans, j’ai retrouvé le même niveau de forme en courant deux fois par semaine. Donc une fois le dimanche matin pour aller faire une Allure libre en effet, souvent les Allures libres de Gaume et une autre fois le mardi ou le mercredi où je faisais une longue sortie. Il m’arrivait de faire un troisième jour de course, mais j’ai réussi à retrouver un très bon niveau avec simplement 2 à 3 jours de course par semaine et sans me fatiguer. Et ça pour moi, ça aussi été une révélation, ça venait aussi de cette attention à l’étirement et à l’alimentation. Donc c’est plus, faire attention à soi en fait, le but ce n’est pas de se faire mal ou d’essayer de se dépasser à tout prix, c’est vraiment d’être bien pour pouvoir donner le meilleur de soi-même. Et ça, c’est quelque chose qui a été une révélation pour moi par rapport à ce que je faisais il y a 20 ans.
Raquel Devillé : Et donc le résultat c’est que cette année-là, t’as gagné quand même quelque chose aux Allures libres que je n’ai pas arrivé à expliquer au début de l’épisode. Mais maintenant Hubert il va expliquer. Allez vas-y!
Hubert : Donc voilà, ce n’est pas important mais j’ai été le premier de ma catégorie d’âge à l’Allures libre sur 5 km au challenge des Allures libre de Gaume. Donc, j’étais le 1 er des 40 à 45 ans, et j’étais 2 ème classement général, c’est-à-dire que je me suis retrouvé à courir à côté de gens qui avaient 20 ans ou 22 ans. Et j’étais très surpris de me retrouver là, parce que je ne croyais pas que j’y arriverais encore une fois dans ma vie. Maintenant, je suis un peu sorti de cette logique compétitive, mais ça montre comme même que même à 40 ans en faisant attention à ce qu’on fait et en ayant une hygiène alimentaire et en s’étirant et en prenant soin de soi, on peut encore arrivée à retrouver des performances honorables on va dire au niveau local évidemment.
Raquel Devillé : Après la sortie un petit peu de ce prix compétitif parce que je vais laisser quand même pas mal de Yoga dans la vie. Et ça change, mais voilà, pour lui, c’est peut être pas important, mais pour moi c’est important, non seulement qu’il a gagné parce que c’est mon mari et donc je suis très fière de oui, parce que voilà, il court vite et c’est très bien, c’est son truc. Et moi, je suis fière de lui. Je l’assume. Mais aussi pour moi, c’est une révélation parce que disons que Hubert, il a été plus ou moins ma… je sais que je ne devrai pas l’appeler comme ça, mais ma cobaye sportive, donc en fait, il a essayé le programme alimentaire que moi j’ai créé. Et après, il a aussi utilisé les étirements que moi j’ai créé et il n’a pas eu peur. Il a quand même essayé de faire ça. Voilà! Et moi, j’ai des connaissances d’anatomie, etc. Mais c’est quand même un risque, parce qu’on ne sait jamais où ça va mener. A ce moment là, disons que je n’avais pas la même expérience ou les mêmes connaissances que j’ai maintenant. Et donc pour moi, j’étais vraiment émerveillée de voir qu’il arrivait à des résultats pareil rien qu’en changeant l’alimentation et aussi en s’étirant un petit peu. Donc pour lui, c’est peut être pas important le fait d’avoir gagné, mais pour moi ça l’est. Donc, je l’ai senti carrément comme si moi j’avais gagné aussi parce que c’était un petit peu le résultat de toutes mes expériences et toutes mes connaissances l’a bien condensés sur un résultat fantastique aux Allures libres de Gaume. Je ne sais pas si tu veux commenter.
Hubert : Oui, c’est vrai! Pour moi et bien simplement, je me suis dit pourquoi pas. Donc, j’ai accepté de suivre un petit peu une pratique alimentaire qui était vraiment différente de ce que je faisais d’habitude. Je l’ai fait et bien comme ce que je fais en général. Je l’ai fait de façon assez radicale, donc j’ai été vraiment extrême dans la façon dont je sélectionnais ce que je mangeai pendant un an. Et ça m’a surpris de voir à quel point ça changeait la forme dans laquelle je me trouvai. Je ne suis plus …enfin ça m’arrivait assez régulièrement d’avoir des petits rhumes ou des petites allergies ou des choses comme ça. Et depuis que j’ai vraiment commencé à faire attention à la façon dont je mangeai, je n’ai plus du tout tous ces petits problèmes.
Je ne suis plus jamais malade, enfin je peux dire ça fait plusieurs années que je n’ai pas été malade.
Raquel Devillé : Oui, c’est vrai! Moi, je l’oublie souvent, mais ça fait des années. On ne tombe plus malade depuis qu’on a changé d’alimentation,on n’a plus d’allergie non plus. Pardon d’interrompre, mais oui, je viens de me rendre compte en fait.
Hubert : Et quand j’ai recommencé à courir, j’ai vraiment vu que ça changeait ma capacité à faire un effort comme je le disais tout à l’heure dans la durée. Maintenant, pour dire les choses vraiment jusqu’au bout, maintenant depuis que j’ai réalisé ce résultat aux Allures libres j’ai un petit peu laissé tomber donc dans le sens où je suis revenu à des choses et bien sans doute moins extrême. Et je ne fais plus vraiment de course à pied pour le moment parce que je n’ai pas le temps, tout simplement. Mais comme même j’en ai gardé beaucoup de choses de ce moment-là où j’ai suivi ce régime et cette discipline. C’est-à-dire que je peux retrouver les sentiments, les sensations que j’ai découvertes à ce moment-là par le yoga, par les étirements et tout ça.
Maintenant, quand j’ai un grand moment de stress, je peux retrouver cet état de détente parce que je l’ai connu, je l’ai vraiment exploré pendant plus d’un an.
Et donc maintenant quand j’ai un moment de stress ou à cause du travail ou à cause de quelque chose qui se passe à la maison. Je peux assez vite me retrouver dans un état où…je suis capable de me calmer au fait, de retrouver les sensations que j’ai découvertes à l’époque. Et ça c’est vraiment précieux d’être capable d’évacuer la pression, la tension, la fatigue simplement en se disant bon je vais me poser, je me calme parce que j’ai découvert ces sensations-là et on peut après les invoquer et les retrouver à nouveau.
Raquel Devillé : Donc, je pense qu’on va s’arrêter ici. On a discuté alimentation, course à pied, étirements. Je veux encore partager quelque chose, c’est qu’on continue toujours à manger Et puis! Mince, sauf que Hubert, il a été très radicale quand il a fait ça pour les Allures libre, donc il a éliminé tout ce qui est sucre et donc on ne mange pas de sucre ajouté. Mais on mange quand même un petit sucre de temps en temps, ce sont les fruits. On mange des fruits à la maison, pas énormément, mais on mange des fruits et c’est une source de sucre mais naturelle. Hubert, il a aussi arrêté de manger tout ce qui était pomme de terre, patate douce, potiron, mais il est revenu et maintenant on mange des pomme de terre de temps en temps, des patates douces, des potirons et des carottes aussi. Je pensais plus au moins le seul sucre qu’on mange à la maison c’est quand on cuisine. Voilà, c’était juste pour que ça soit clair que de temps en temps, on mange un petit peu de secrets. On n’est pas parti dans une alimentation cétogène, parce qu’en fait, on n’arrive pas facilement. On est parti dans une alimentation qui normalement s’appelle Paléo. Et voilà, sauf qu’on n’ajoute pas de sucre, à rien quand on mange à la maison.
Hubert : En tout cas moi ce que je peux dire c’est que je n’ai jamais aussi bien mangé de ma vie, j’ai redécouvert le goût des aliments. Les aliments que d’habitude à cause du sucre en fait on ne goûte pas les de la même manière et quand on arrête de manger des sucres rapides, des sucres ajoutés, on réapprend à goûter les aliments et en fait moi je n’ai jamais autant apprécier manger que maintenant.
Raquel Devillé : Oui, c’est vrai. Donc, si vous avez des questions, nous sommes ici disponibles pour vous répondre. Vous pouvez envoyer un mail sur info@recentrez-vous.be et vous pouvez poser des questions et nous vous répondrons. Vous pouvez aussi aller sur notre site Recentrez-vous.be ou alors visitez notre page Facebook où nous répondons aussi à vos questions. Donc vous allez sur Facebook et là c’est seulement Recentrez-vous. Je veux vous remercier de nous avoir écouté, de nous avoir choisi parmi tous les podcasts disponibles sur internet. Merci d’être là, Merci de nous avoir écouté et à bientôt.